C’est un mix entre surcharge cognitive (trop d’éléments à analyser pour le cerveau humain) et délégation cognitive (l’humain s’en remet à l’IA pour le servir et - on espère que non - l’asservir)
On dirait bien que l’humanité va devoir apprendre à nager dans un monde constamment inondé d’informations issues de boîtes noires, car on ne sait pas comment les réponses de l’intelligence artificielle sont produites lp.ca/xaI8UW?sharing…